L’orthodontie est une branche de la médecine dentaire qui s’intéresse au diagnostic, à la prévention et à la correction des malpositions dentaires et des dysharmonies faciales dans un but fonctionnel et esthétique. Un traitement orthodontique consiste à appliquer une force sur les dents ou les bases osseuses maxillo-mandibulaires de manière à les déplacer et les repositionner pour obtenir un bon alignement dentaire et une harmonie faciale. Dans le même but, une intervention de chirurgie maxillo-faciale est parfois associée à l’orthodontie chez l’adulte. La pratique de l’orthodontie nécessite des compétences professionnelles en matière de conception, d’application et de maîtrise d’appareils correctifs (appareils orthodontiques) pour amener les dents, les lèvres et les mâchoires à leur alignement adéquat et atteindre un équilibre facial.

Vous souhaitez approfondir vos connaissances en orthodontie, n’hésitez pas à consulter le cours de Laurent Monnier. 

Vous savez déjà que les appareils orthodontiques redressent les dents, mais vous ne savez peut-être pas qu’un beau sourire n’est qu’un des avantages que l’orthodontie peut offrir. Amener les dents, les lèvres et les mâchoires à leur alignement adéquat produit non seulement un beau sourire, mais également un sourire sain. Des dents droites fonctionnent mieux et sont plus faciles à nettoyer.

Finalement, mais ce n’est pas le moins important, un sourire sain procure bien-être et confiance en soi. Cet avantage psychologique peut s’avérer un facteur important dans la décision de subir un traitement, et cela est souvent cité comme le premier objectif de traitement des patients.

C’est agréable d’avoir un beau sourire et c’est un plaisir de le voir.

Les orthodontistes sont des dentistes qui ont, en moyenne, suivi trois ou quatre années supplémentaires de formation spécialisée sur la manière de diagnostiquer, prévenir et traiter les irrégularités dentaires et faciales.

Une formation avancée et continue permet aux orthodontistes d’offrir à leurs patients les normes de traitement les plus élevées donnant les meilleurs résultats.

Aucune référence n’est nécessaire pour une consultation ou un traitement chez un orthodontiste.

L’American Association of Orthodontists recommande que tous les enfants voient un spécialiste en orthodontie pas plus tard qu’à l’âge de sept ans (six ans si les dents du bas sont en avant des dents du haut). De nombreux problèmes orthodontiques se corrigent plus aisément s’ils sont détectés tôt, au lieu d’attendre jusqu’à ce que la croissance de la mâchoire ait ralenti.

Un traitement précoce peut signifier qu’un patient pourra éviter une intervention chirurgicale ou d’autres corrections plus graves plus tard dans la vie.

Il y a quelque temps encore, la plupart des gens croyaient que les appareils orthodontiques ne servaient qu’aux enfants. En réalité, chez les patients qui suivent actuellement un traitement orthodontique, plus de 25% sont âgés de plus de 21 ans.

Étant donné que le procédé de base utilisé dans le déplacement des dents est le même pour les adultes que pour les enfants, un traitement orthodontique peut en général réussir à tout âge.

La santé des dents, des gencives et des os de soutien déterminera également les possibilités d’amélioration.

Non. Aussi longtemps que l’os et la gencive entourant des dents sont sains, l’âge n’est pas un facteur. Environ 25 % des patients d’orthodontie sont des adultes. Les spécialistes en orthodontie traitent régulièrement des patients dans la cinquantaine, la soixantaine et davantage!

De nombreux régimes d’assurance comprennent désormais les traitements orthodontiques. Si vous souhaitez vérifier auprès de votre assurance, les questions à poser sont les suivantes : 

  • Pourcentage de remboursement ? 
  • Montant maximal remboursé par année ? 
  • Montant maximal remboursé par traitement ? 
  • Valeur maximale du point acceptée par l’assurance ? 
  • Durée de validité de l’assurance (jusqu’à quel âge) ?

Consultez ch-ortho.swiss pour plus de renseignements à ce sujet.

Oui, certaines malocclusions sont prises en charges par l’assurance de base (LAMal) ou l’assurance invalidité. Laurent Monnier vous renseignera volontiers à ce sujet.